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Zoom alternance : Manon, chargée de promotion du don à l’Etablissement français du sang

Manon a rejoint l’ISCOM Toulouse en 4e année, dans le cadre des admissions parallèles. Aujourd’hui en 5e année en alternance, elle évolue en tant que chargée de promotion du don au sein de l’Etablissement français du sang sur le bassin Garonne.



Pouvez-vous nous décrire votre parcours ?

 

Après un bac Economique et social, je me suis directement orientée vers la communication en rejoignant le DUT Information et Communication à l’IUT de Besançon. Par la suite, j’ai eu la chance de pouvoir partir avec le programme ERASMUS à La Haye pour ma licence. Pour des raisons d’équivalence, à mon retour en France, j’ai refait une licence info-com à l’université Paul Sabatier. A la ?n de ma licence, je suis partie à la recherche de formations pour intégrer un programme professionnalisant, plus que celui proposé à l’université. Et puis, un peu par hasard, j’ai fait la découverte de l’ISCOM Toulouse lors d’un salon étudiant en cours d’année. J’avais déjà entendu parler de l’école et l’échange que j’ai pu avoir avec l’équipe et les étudiants sur le stand ont vivement retenu mon attention. A tel point que j’ai passé le concours d’admission et j’ai rejoint l’école en 4e année en admissions parallèles.

 

 

Aujourd’hui, vous évoluez en tant que chargée de promotion du sang au sein de l’EFS. Dites-nous en plus sur ce poste et ses missions ?

 

En tant que chargée de promotion du don, j’évolue aux côté de l’équipe communication régionale de l’EFS et deux chargées de promotion que j’assiste au quotidien. Dès mon arrivée, une importante mission m’a été con?ée : l’organisation de la nouvelle édition de la PlasmaCup. Il s’agit d’un challenge inter-étudiants, inter-écoles, qui vise à collecter le plus de dons de plasma possible. J’ai été en charge de la 3e édition ce qui impliquait de : démarcher des établissements scolaires mais aussi des partenaires, déployer et agencer le kit de communication en local, communiquer autour du projet en amont, pendant et après le challenge.

Photo Manon EFS

Aujourd’hui l’évènement est passé et je vais travailler sur de nouveaux projets qu’il me reste à dé?nir avec mon équipe. Mon poste intègre beaucoup de polyvalence. J’appréhendais au début la partie événementielle car je n’avais jamais eu l’occasion d’y toucher auparavant. Finalement, la gestion de projets a été une vraie révélation !

 

En parallèle des projets d’envergure, au quotidien, j’assure l’envoi des newsletters pour chaque collecte de sang, j’interagis également avec les correspondants des collectes pour assurer le cycle d’informations.

 

Je suis très heureuse de travailler pour une aussi belle structure ! L’EFS est en parfaite harmonie avec mon parcours et mes aspirations professionnelles. Les domaines de la santé et de l’intérêt général font partie de mes secteurs de prédilection. Mon travail a du sens, un impact positif sur la société et j’en suis ?ère.

 

 

Comment avez-vous trouvé cette alternance ?

 

J’ai trouvé assez rapidement mon alternance. A l’ISCOM, nous avons la chance d’être très bien accompagnés dans notre recherche de stage et d’alternance. J’ai donc découvert l’o?re proposée par l’EFS grâce à la responsable des relations Entreprises de l’école qui nous l’a envoyée. Grâce à ses bons conseils et son encadrement, quelques jours après avoir candidaté, j’ai e?ectué une relance qui a visiblement fonctionné puisque j’ai été rapidement rappelée.

 

J’ai donc trouvé mon alternance courant mai et cela a été un vrai soulagement pour moi ! J’insiste sur l’importance des relances dans sa méthodologie de recherche. La responsable des relations Entreprises de l’école nous le répète souvent et je pense que c’est notamment ce qui a pu faire la di?érence pour moi.

 

 

Quels sont ou ont été les apports de l’ISCOM dans votre alternance aujourd’hui ?

 

L’avantage de la formation que j’ai pu suivre en 4e année, c’est son aspect généraliste, mais non moins professionnalisant. La 4e année nous permet de toucher à tout et de devenir de véritable couteau- suisse ! Cela va de la stratégie à la budgétisation, aspect essentiel du métier, que je n’avais encore jamais abordé jusqu’à présent. Grâce à cette vision d’ensemble, nous sommes de suite opérationnels en entreprise.

 

 

Quels conseils apporteriez-vous aux étudiants qui se lanceront dans la recherche d’alternance ?

 

Un seul mot d’ordre : commencer tôt ses recherches ! J’invite les étudiants à élargir leur recherche le plus possible et oser postuler même à des o?res « peu sexy » parce que, derrière une o?re, il y a bien souvent une super équipe et un cadre de travail vraiment stimulant. Il faut rester curieux et ne rien lâcher tant que l’on n’a pas trouvé son alternance.