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Hello Again Challenge sur le campus de Rouen

L’année dernière, à Rouen, l’ISCOM a eu le plaisir de collaborer avec Le Groupe Eiffage dans le cadre du Hello Again Challenge, challenge organisé au retour de stage des étudiants de 2èmeannée. Aujourd’hui, nous vous faisons un retour de l’expérience vécue par l’entreprise.

 

 

 

 

 

Rencontre avec Caroline Matrot, Assistante de direction et Franck Roulland, Directeur Commercial et Développement chez Eiffage Construction. 

 

En quoi consistent vos missions au sein d’Eiffage Construction ?

 

Frank : J’ai en responsabilité l’activité commerciale de l’entreprise sur les 3 agences : Logement, Industrie, ouvrages fonctionnels.

 

Caroline : En tant qu’assistante de direction et assistante commerciale, j’ai en responsabilité la communication de l’entreprise, ainsi que l’organisation et l’animation des évènements externe / interne (clients, école, Crepi,…)

 

Comment êtes-vous entrés en contact avec l’ISCOM ?

 

22 15397707170Franck : Tous les quatre à cinq ans, il y a un évènement majeur sur la ville de Rouen qui s’appelle l’Armada, où les plus grands voiliers du monde viennent stationner pendant 10 jours. C’est une manifestation emblématique pour notre région. Lors de chaque édition, le groupe Eiffage décide d’organiser une manifestation sur deux bateaux. 

Caroline : On a décidé de faire appel à l’ISCOM pour avoir une soirée innovante et différente des autres années. Nous avons donc contacté l’école pour leur proposer le projet et voir dans quel cadre cela pouvait être organisé. Nous avons fait un premier rendez-vous avec Juliette Lebourg qui nous a proposé d’être l’annonceur du Hello Again Challenge à destination des étudiants de 2èmeannée. 

Nous avons expliqué notre besoin et l’école a ensuite organisé la semaine de challenge, le brief, les coachings et les soutenances. Nous avons participé au brief ainsi qu’aux soutenances finales.

Concernant le brief : Ils devaient organiser 2 soirées à destination de nos clients dits « VIP+ ». Nous avons annoncé un budget significatif. Nous leur avons expliqué que nous voulions une soirée inoubliable et innovante, quelque chose qui n’a pas encore été vu chez les concurrents. Tout en recherchant évidement l’effet « waouh ».

 

Qu’attendiez-vous de la part des étudiants en termes de rendus ? Certaines propositions vous ont-elles surprises ?

 

Caroline : Ils devaient nous présenter un concept de soirée mais nous étions totalement ouverts sur le thème. En revanche il y avait évidemment des contraintes car les soirées devaient pouvoir être organisées sur un bateau. Nous leur avons fourni des photos des bateaux, les plans et tout ce dont ils avaient besoin. J’ai été impressionnée par la rapidité et la créativité dont ont fait preuve l’ensemble des étudiants car ils avaient un délai très court.  

 

Franck : Certains groupes ont été très créatifs. Sur les 5 projets, il y en avait trois qui étaient réalisables et deux qui se sont vraiment détachés du lot.

En une semaine, ils devaient sortir un projet et le présenter devant tous les membres du jury, soit 12 directeurs des filiales EIFFAGE qui font partie du Comité de Commerce Interbranches.

 

Quels sont les deux projets qui se sont détachés ?

 

Franck : Il y avait le projet « Pirate » et le projet « Cabaret ».

Le projet Pirate proposait de simuler une attaque du bateau du côté de la Seine, avec des serveurs déguisés en pirates en guise de défenseur du bateau. C’était donc quelque chose de vraiment très innovant avec des comédiens.

Le second projet nous plongeait dans une ambiance de Cabaret avec des danseuses du Moulin Rouge, des magiciens… Vraiment une bonne animation sur le bateau.

Nous avons eu du mal à départager les deux groupes mais nous avons finalement statué vers le projet Pirate

Au moment d’exposer le concept à l’organisation de l’Armada, nous avons essuyé un refus immédiat pour cause de Plan Vigipirate. En effet, si on simule une attaque sur un bateau, il y a un risque que certaines personnes pensent que c’est une véritable attaque terroriste et donc qu’elles se jettent à l’eau ou qu’elles créent un mouvement de panique sur les quais. 

Nous avons donc expliqué la situation aux étudiants et décidé de travailler sur le projet Cabaret. Les deux équipes se sont donc rassemblées pour travailler ensemble sur le projet.

Un compromis a été trouvé entre les deux projets.

 

Avez-vous pu mettre ce projet en place ?

Oui tout à fait, les deux soirées ont eu lieu et les étudiants ont participé aux deux événements. Ces soirées ont été une grande réussite dont une mémorable.

Armada CreditPhoto E. Benoit

 

Que retenez-vous de cette collaboration avec l’ISCOM et ses étudiants ?

 

Franck : Tout d’abord, nous remercions Juliette Lebourg et Manon Leblanc pour l’excellent accueil qui nous a été réservé. Nous remercions également l’ensemble des étudiants d’avoir accepté de relever ce challenge. L’élément majeur que je retiens de cette collaboration, c’est la motivation et l’envie de bien faire de l’ensemble des intervenants dans l’intérêt du projet.

 

Caroline : Oui, l’engagement des étudiants dans le projet quand on leur a présenté notre demande. Ils ont été très motivés bien qu’ayant des partiels en parallèle. Cependant lorsque le projet est entré en phase de réalisation, l’implication des étudiants s’est affaiblie. Nous avons dû rappeler aux étudiants les enjeux de ces soirées pour le Groupe Eiffage afin qu’ils se remobilisent pour la réussite de ces soirées.

 

Seriez-vous prêt à réitérer l’expérience avec une autre promotion ?

Oui, nous sommes prêts à réitérer l’expérience ! Nous avons une idée qui est actuellement en stand- by pour cause de Covid.