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Mon stage en communication en Afrique du Sud

Isabel, étudiante en 4ème année, a choisi de s'envoler pour l’Afrique du Sud pour effectuer son stage. Elle a intégré le service culturel de l’Institut français.



Photo Isabel FONTAINE

 

 

Pouvez-vous nous présenter votre parcours ?

 

Originaire de l'île de la Réunion, je suis venue en France pour passer mon BTS Communication. A la suite de mon diplôme, j’ai rejoint l’ISCOM à Toulouse pour la 3ème année afin de me spécialiser en relations presse, publics et évènementiel.

 

 

 

 

Vous vous êtes envolée pour l’Afrique du Sud à l’occasion de votre stage de 4ème année. Comment s’est déroulé votre recrutement ?

 

Le recrutement de mon stage a été très simple. J'ai pris connaissance de l'offre sur un site internet de recrutement et j'ai envoyé ma candidature. J'ai ensuite passé un entretien classique avec la chargée de communication et l'attachée culturelle de l'Institut Français d'Afrique du Sud (une partie en français, une autre en anglais pour vérifier mon niveau) qui m'ont recontactée quelques jours après pour m'annoncer que j'étais officiellement prise.

 

En revanche, l’obtention du visa est une autre paire de manches ! La liste des pièces à fournir est assez longue et demande pas mal de démarches médicales et judiciaires (assurance, radiologie, casier judiciaire etc.…). Ça a été un peu le parcours du combattant mais j’ai finalement réussi à l’avoir à temps pour le début de mon stage.

 

 

Pouvez-vous nous détailler vos missions ?

 

Assistante de communication, je travaille avec la responsable de communication et suis chargée de rédiger des posts Facebook, Twitter et des articles pour le site internet. Je m'occupe également de l'organisation d'événements culturels organisés à Johannesburg et des relations publics et presse. Le poste est assez polyvalent mais comporte une importante partie évènementielle. C’était justement ce qui m’avait attirée dans l’offre.

 

 

Avez-vous eu le temps de visiter durant votre temps libre ?

 

J'ai pu commencer à visiter durant mon temps libre quelques endroits touristiques et historiques de la ville. Je vis actuellement dans une famille sud-africaine et je participe régulièrement à ses activités. C’est une chance car j’ai vraiment l’occasion d’adopter le mode de vie des locaux et non de rester entre expatriés, le travers des personnes qui travaillent à l’étranger dans le milieu institutionnel.