com-et-strat-des-marques

La 3ème année en école de communication : internationale, concrète et stimulante

L'interview de Justine Sénée, étudiante à l'ISCOM Paris...



banner Synk Monkz Records

Justine Sénée, Leanna Porcher, Charlotte Davenier entourent les membres du label Synk Monkz Records pour lequel elles travaillent dans le cadre du projet micro-agence.

La 3ème année comme si vous y étiez. Un passage par Berlin pour le stage international, un œil rivé vers le design graphique et surtout l’accompagnement de Synk Monkz Records, un jeune label musical, dans le cadre du projet micro-agence. Justine nous raconte sa 3ème année à l'ISCOM.

Racontez-nous votre expérience de stage à l'international...

vignette justine seneeJe suis allée en Allemagne, à Berlin. J’ai travaillé de septembre à décembre en tant qu’Assistante directrice artistique chez Quandoo, une plateforme internationale facilitant la réservation de restaurants, concurrente de La Fourchette et OpenTable. Cette expérience a été pour moi extrêmement enrichissante : elle m’a permis de découvrir un nouvel environnement de travail car j’avais effectué mes derniers stages en start-up. De plus, j’étais dans une équipe sympathique et accueillante qui m’a énormément appris et fait progresser.

 

 

Pour quelle spécialisation avez-vous opté à l’ISCOM  ?

Pour ma 3ème année, j’ai choisi la Spécialisation Communication et Création Numérique. Grâce à mes cours et aux stages, je me suis vite rendu compte que je souhaitais travailler dans le design graphique et que je portais un intérêt particulier au monde du digital, c’est pourquoi je me suis tournée vers cette spécialisation.

 

Justement, quels sont les enseignements qui vous plaisent le plus cette année ?

Dans mon cursus, la plupart des matières font appel à notre créativité et sont très enrichissantes. Nous apprenons comment répondre au mieux à des briefs créatifs, l’importance des visuels mais également de l’identité sonore d’une marque… etc. Pour ma part, j’aime beaucoup le cours de Motion Design (Animation vidéo) ainsi que celui d’Ergonomie et Responsive Design qui, en d’autres termes, nous apprends à nous familiariser avec l’UX Design.
Ma 3ème année en 3 mots ? Internationale, professionnalisante et enrichissante.

 

Vous participez à l'exercice de micro-agence, en qui consiste ce projet ?

En fait, en groupe de 4 ou 5 personnes, nous démarchons de réels clients pour ensuite travailler avec eux tout au long de l’année sur différentes missions de communication. Cette année, notre micro-agence BULB (composée de Leanna Porcher Charlotte Davenier, Marie Aubry, Joséphine Dufou) s’occupe d’un jeune label de musique créé par 2 étudiants : Synk Monkz Records. Nous travaillons avec le chanteur, PalmTree, et son coéquipier et tous deux nous donnent différentes missions allant de la réalisation de leur identité visuelle (logos, kits presse, photographie…) à la mise en place d’une stratégie de communication sur les réseaux sociaux. Dernièrement, PalmTree a sorti son nouveau clip "Flora" pour lequel nous avons mis en place une campagne de communication digitale suivie de l’organisation de concerts et/ou festivals. D’ailleurs, si vous voulez jeter un oeil sur la page Facebook du label.

 

Que retenez-vous de cette expérience ?

L’avantage de l’exercice de micro-agence, c'est que l’on travaille sur quelque chose de concret, avec un réel client c’est donc tout de suite plus professionnalisant. Il y a également un exercice concret d’organisation car on travaille avec de vraies deadlines et le travail en groupe est quelque chose d’indispensable dans le monde de la communication.

 

Quels conseils donneriez-vous à un étudiant qui souhaiterait venir étudier à l’ISCOM ?

D'abord, être motivé, curieux, avoir envie d’apprendre ! Les deux premières années à l’ISCOM sont généralistes, c’est une belle opportunité de "toucher à tout" et de se familiariser avec les divers métiers de la communication.  Ensuite la 3ème année est l’année de spécialisation, qu’il sera encore possible d’affiner en 4ème année. Et puis le vrai plus, ce sont les stages tous les ans, en France ou à l’étranger, que l’on peut effectuer à l’étranger ou remplacer par un échange universitaire Erasmus.
En fait, ça nous permet d’apprendre encore plus au niveau professionnel mais aussi personnel.