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Vivre de l’intérieur une élection : une formidable expérience

Portrait d'Alexandre Whitmore, un étudiant passionné de communication politique...



Alexandre Whitmore est chargé de mission communication au sein des Républicains, en parallèle de ses études à l’ISCOM Paris. Il revient sur sa 1ère année en école de communication et sur son expérience au sein d’un parti politique...

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Qu'avez-vous fait comme cursus avant d'intégrer l'ISCOM ?

Après mon BAC ES, j’ai fait une année de droit à Aix-Marseille Université. J’étais en parallèle collaborateur parlementaire à temps partiel d’un député européen, en charge de la communication.

 

Pourquoi avez-vous choisi d’étudier à l’ISCOM ?

La communication est un milieu où il se passe chaque jour quelque chose de nouveau et particulièrement en politique.  J’ai toujours aimé cette idée de mouvement perpétuel.
J’ai choisi l’ISCOM pour la qualité de l’enseignement et des intervenants. Avec cette école, il y a une multitude de débouchés pour les étudiants.
À l’ISCOM, la direction est très à l’écoute des élèves et de leurs projets. Les intervenants viennent de milieux divers de la communication, ce qui permet d’appréhender au mieux nos premières expériences professionnelles et de bénéficier de leurs conseils.

 

Cette année, quels sont vos cours préférés ?

J’aime beaucoup les cours de Marketing, d’introduction à la marque et d’observatoire des métiers. Ils apportent de nouvelles connaissances et structurent nos savoirs en la matière.

 

Racontez-nous votre stage...

L’ISCOM permet de faire 2 mois de stage dès la première année. C’est un avantage conséquent dans le monde du travail. A l’issue de ce stage, je suis devenu chargé de mission à temps partiel au sein de la direction de la communication des Républicains. Je suis ainsi directement confronté au milieu de la communication politique. Je peux donc observer le fonctionnement d’un parti politique en période électorale. Vivre de l’intérieur une élection présidentielle et une élection législative constitue une formidable expérience et une belle opportunité.

 

Quels conseils donneriez-vous à un étudiant qui souhaite aussi faire de la communication politique ?

Suivre au mieux l’actualité, avoir un esprit militant : il faut croire en ce que l’on défend. Il faut aussi adhérer au projet proposé, avoir des convictions profondes. Je pense aussi qu’il ne faut pas attendre que l’on vienne vous chercher, il faut s’impliquer dans la vie politique de sa ville, de son canton ou de sa circonscription.
Ce n’est qu’une vision personnelle des choses, chacun peut s’y intéresser à sa manière.

 

D'où vous vient cette passion pour la politique ?

C’est venu progressivement et naturellement. J’ai toujours aimé mon pays et je ne voulais pas regarder les choses se faire sans y participer, même à un très modeste niveau. Il est évident que certaines personnes, connues plus ou moins du grand public, donnent envie de se mobiliser et de donner de son temps. Ce sont toutes ces rencontres et ces échanges qui font que l’on apprend chaque jour.

 

Quel est votre projet professionnel ?

Je souhaite poursuivre mon parcours et donc travailler dans la communication politique pour permettre de traduire au mieux une volonté politique. On est loin de “House of Cards“, la communication ce n’est absolument pas de la manipulation de l’opinion mais une volonté de pédagogie envers les électeurs sur le rôle et les actions de leur député, leur maire, du parti auquel ils adhèrent, d’un candidat à l’élection présidentielle. Mais dans la vie politique, il n’y a qu’une constante : l’incertitude.
Je sais où je suis aujourd’hui, j’essaie de donner le meilleur de moi-même sans oublier l’essentiel : mes études.

 

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