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Mon poste de Digital Marketing Manager à Oxford

Ancienne étudiante en BAC+5 Communication et Création Digitale à l’ISCOM à Lyon, Audrey ZARLENGA vient d’être embauchée chez le leader d’intégration de solutions de réalité virtuelle à Oxford. Zoom sur son parcours, ses expériences et son projet professionnel.



Pouvez-vous nous présenter votre parcours ?

 

audrey zarlenga article

 

J’ai commencé par intégrer l’Université Jean Moulin Lyon 3 en langues étrangères appliquées avec une option communication internationale. Ensuite, j’ai poursuivi par un master 1 en communication, toujours à Lyon 3. C’était très académique et c’est pour cette raison que j’ai fait le choix de m’orienter ensuite vers l’ISCOM afin d’intégrer une formation très proche de la réalité des entreprises.

 

La cinquième année en alternance s’est imposée pour moi comme une évidence. J’ai choisi la spécialisation Communication et Création Digitale et j’ai intégré l’entreprise ODIF, spécialiste des loisirs créatifs qui produit des colles et des vernis. Parmi mes missions, j’ai piloté la refonte du site internet, j’ai optimisé son référencement et j’ai développé la stratégie social media (Facebook, Twitter, Pinterest, YouTube).

 

À l’issue de mon alternance, ils m’ont proposé de m’embaucher en CDI. Tout se passait très bien mais d’autres opportunités se sont ouvertes, notamment pour partir en Australie. J’ai ainsi décidé de prendre mon envol pour Melbourne. J’ai créé mon propre emploi en développant mon activité freelance de conseil en communication digitale. J’ai commencé par travailler avec des petites structures locales (restaurants, cafés et des petites boutiques dans le centre-ville de Melbourne) puis pour de plus grandes, notamment The Soup Place pour qui j’ai participé au développement du nouveau site web (https://www.thesoupplace.com.au/).

 

Ravie de cette expérience, j’avais encore un autre rêve en tête : partir travailler à Londres ou à Oxford. J’ai donc commencé à rechercher un emploi et j’ai trouvé un V.I.E. (Volontariat International en Entreprise) beaucoup plus rapidement que je ne l’avais imaginé. La première annonce à laquelle j’ai répondu était celle d’Antycip Simulation qui recherchait un Digital Marketing Manager pour leur bureau d’Oxford. Ils m’ont embauchée ; j’étais donc repartie pour une nouvelle aventure !

 

 

Pourriez-vous nous présenter Antycip Simulation ainsi que vos missions ?

 

Antycip Simulation, c’est le leader d’intégration de solutions de réalité virtuelle et de salles immersives 3D. Nous travaillons principalement pour la défense, l’aéronautique, l’aérospatiale et nous avons récemment commencé à développer des projets pour certaines universités. Le plus notable est le projet que nous avons lancé à Lille l’année dernière ; il s’agit de TORE (« The Open Reality Experience »). C’est une demi-sphère qui permet d’explorer les environnements virtuels 3D sans interruption visuelle, dans toutes les directions du regard.

 

Ses domaines d’application sont variés : amélioration des outils collaboratifs en réalité virtuelle, reconstitution et visites virtuelles de monuments et lieux passés et présents, art interactif, santé (rééducation, mal des transports), éducation (simulation et évaluation de situations d’apprentissage).

 

Les principales missions qui m’incombent sont axées sur la refonte du site internet, la gestion des réseaux sociaux et la gestion de l’image de marque de l’entreprise à l’international. Depuis Oxford, je travaille pour notre bureau local mais aussi pour notre bureau français ou encore pour notre bureau situé à Milan.

 

 

Comment avez-vous accédé à ce poste ?

 

Pour postuler, j’ai utilisé le site civiweb.com qui est une plateforme qui regroupe de nombreux emplois en VIE. Comme je voulais absolument trouver un emploi à l’international, le VIE s’est avéré une excellente opportunité m’évitant de chercher à l’arrivée sur place. De plus, tout est allé très vite : en 15 jours, j’ai décroché mon emploi chez Antycip Simulation.

 

Concernant mon profil, la notoriété de l’ISCOM a beaucoup joué. L’alternance a également été déterminante : j’avais plus d’expérience que les autres candidats. J’ai aussi pu solliciter le réseau professionnel que j’ai construit au fil de mon parcours à l’ISCOM. Le soutien et la recommandation de mon précédent employeur ont été un vrai plus.