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Portrait d'Audrey Valenti, étudiante en 4ème année à l'ISCOM Toulouse

Découvrez sa formation, ses passions, ses ambitions...



La richesse de l’ISCOM repose avant tout sur la diversité de ses étudiants. Aujourd’hui, focus sur Audrey Valenti, étudiante engagée et polyglotte, en 4ème année à Toulouse.

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Pouvez-vous nous présenter votre parcours scolaire antérieur et les études suivies aujourd’hui à l’ISCOM ?

Après un BAC Economique et social au lycée international de Colomiers, je me suis orientée vers les langues en m’inscrivant en Langues Etrangères Appliquées Anglais – Japonais, option Italien à l’université Jean-Jaurès. J’ai toujours été attirée par les cultures étrangères et l’ouverture à l’international. J’ai eu la chance de voyager très jeune, ce qui m’a permis de développer un réel attrait pour les langues étrangères. Une fois ma licence en poche, j’ai décidé de me spécialiser dans le marketing et la communication, d’où mon arrivée en 3e année à l’ISCOM Toulouse l’année dernière.

 

Pourquoi avez-vous choisi l’ISCOM ?

Tout simplement parce qu’une amie y a fait ses études et m’a vivement conseillé de l’intégrer. Je me suis également rendue au salon Infosup qui m’a permis de recueillir plusieurs informations sur les différentes écoles de communication de Toulouse. Les informations collectées ont toutes convergé en faveur de l’ISCOM dont j’ai apprécié l’aspect très professionnalisant mais aussi théorique, n’ayant pas reçu de cours en marketing et communication, il était important pour moi de repartir avec des bases solides.

 

Pourriez-vous nous parler de vos activités extra-scolaires ?

Depuis 5 ans, je suis membre d’un Club de sauvetage nautique. Passionnée par la natation et la plongée sous-marine et avec les encouragements du maître-nageur sauveteur de Tournefeuille, j’ai décidé de passer les formations de premiers secours. J’ai ainsi obtenu le diplôme de secourisme de niveau 1 et le brevet national de sécurité et de sauvetage aquatique. Grâce à eux, j’officie depuis 5 ans en tant que secouriste à titre bénévole. A l’avenir, je compte également passer les échelons supérieurs.

 

Etre secouriste implique de grandes responsabilités, pouvez-vous nous en dire davantage sur ce que ça vous apporte personnellement ?

En effet, être secouriste est une activité très sérieuse. La vie d’autrui est entre nos mains, et il faut faire preuve d’une grande maîtrise de soi lorsqu’un accident se produit. Depuis que je suis secouriste, je peux dire avec assurance que j’ai beaucoup gagné en maturité et professionnalisme. Pour tout accident, il est de notre devoir de garder notre sang-froid et d’agir rapidement. Aujourd’hui, je suis fière de mon activité de secouriste, je me sens importante et je sais qu’en donnant de ma personne, je sauve des vies. Et j’en suis très fière.

 

Le secourisme m’a en plus permis de m’affirmer. Timide de nature, j’ai gagné confiance en moi.

Vous allez d’ailleurs garder un pied dans le milieu de la prévention puisque vous débutez un stage de 6 mois au sein de la Fédération nationale des Sapeurs-Pompiers à Paris. C’était important pour vous de rester dans ce milieu ?
Oui, alors je suis très contente de pouvoir appliquer mes compétences de communicante au service de la cause des pompiers et de la prévention en général. Je n’avais pas restreint mon périmètre de recherche de stage à ce milieu mais quand j’ai vu que la Fédération recherchait des stagiaires en communication, j’ai vraiment sauté sur l’occasion. En tant que future communicante, c’est très important pour moi de servir des valeurs qui me sont chères. Ce stage me permettra ainsi de marier mon engagement citoyen à ma formation scolaire. Si j’en ai l’opportunité, je souhaiterais d’ailleurs pouvoir réaliser mon alternance dans ce milieu-là.


Parlez-nous maintenant de votre attrait pour les langues étrangères. Il paraît que vous êtes passionnées par la culture nippone ?

Alors oui, je confirme. De manière générale, j’ai toujours été attirée par l’international, les voyages … En particulier pour la culture japonaise dont je suis littéralement tombée amoureuse quand j’avais 12 ans. En fait, c’est mon grand frère qui m’a transmis le virus … Résultat : je ne cumule pas moins de 6 virées au Japon depuis que j’ai 12 ans ! C’est à en effet à cet âge que j’ai fait mon premier voyage là-bas. J’ai eu la chance d’y aller pendant les Sakura, période de floraison des cerisiers. C’était magique ! J’ai vraiment eu un coup de foudre pour ce pays. C’est d’ailleurs ce qui explique mon parcours en LEA Anglais-Japonais-Italien. A mes heures perdues, je révise mes kanji (alphabet japonais) en vue de passer le JLPT (Japanese Language Proficiency Test) qui est l’équivalent du TOEIC en japonais. Je rêve de travailler un jour là-bas !

 

Etudiante en communication, citoyenne engagée mais aussi … polyglotte ! Quel parcours ! Finalement pourquoi avez-vous choisi la communication ?

La communication pour moi, c’est avant tout l’ouverture d’esprit. C’est l’envie d’en apprendre tous les jours et d’aller à la rencontre des autres. Je pense que mon activité de secouriste, mon ouverture sur l’international et mon apprentissage personnel du Japonais sont autant de manifestations de la communicante que je suis. La communication c’est vraiment donner de soi-même et aimer partager.