Journée Portes Ouvertes Nationale
Être le seul garçon, dans une classe de filles
C’est ce qu’à (presque) vécu Jean, étudiant à ISCOM Paris, école de communication. Il fait part de son expérience dans Le Parisien Étudiant, et livre quelques anecdotes sur ce que c’est que de travailler dans des groupes avec que des filles.
Dans la classe de BTS de Jean, ils n’étaient que 3 garçons, ce qui l'a fait se questionner sur son choix d’orientation. Il ne se doutait pas à cet instant qu’il allait être plus que satisfait de ses années d’études, au point de se réinscrire pour une 3ème année en Programme Grande École.
La communication, une filière genrée ?
Selon plusieurs études expliquées dans le Parisien Étudiant, les filières restent très genrées : les filières informatiques, mathématiques, et écoles d’ingénieurs comptent plus d’hommes, et les filières sociales, les lettres, la santé, l’éducation comptent plus de femmes. Comment se sentent donc ces étudiants entourés d’un plus grand nombre d’étudiantes ? Il semblerait qu’ils aient des méthodes de travail bien différentes et acceptent de recevoir des directives venant de cheffes, ce qui les conduira par la suite à promouvoir les femmes dans leur entreprise, et à être plus inclusif. Ce qui est important dans cette situation que l’on retrouve à ISCOM, c’est qu’il faut passer au-dessus des stéréotypes de genre, et s’intéresser à la personnalité.
Une expérience enrichissante
Nos iscomiens, tout comme Jean, remarquent donc une différence dans la manière de travailler avec des groupes de filles : plus organisées, beaucoup d’écoute, des conversations moins brouillons et moins directes. Les filles elles, se sentent plus à l’aise dans la prise de responsabilités.Les étudiants ayant vécu cette expérience conseillent à leurs pairs masculins de ne pas hésiter à s'inscrire dans des formations où les filles sont majoritaires.
Retrouvez le témoignage de Jean et d'étudiants en communication sur Le Parisien Étudiant.
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