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5 raisons de rentrer à ISCOM après le bac

Le profil de Sanjana

Sanjana a intégré ISCOM Toulouse il y a maintenant plus de 6 mois. Plus que satisfaite de son orientation, elle nous partage 5 bonnes raisons d’intégrer ISCOM en première année

Je m’appelle Sanjana, j’ai 18 ans et après avoir obtenu un baccalauréat général avec les spécialités géopolitique et littérature anglaise à l’île de La Réunion, j’ai intégré le campus toulousain ISCOM en septembre 2022 en Première Année du Programme Grande École. Aujourd’hui, je vous partage mes 5 raisons d’intégrer ISCOM !

1. La communication, tout un univers

La communication est un vaste domaine qui touche à énormément de choses : le Community management, les relations publiques, le marketing, l’évènementiel, l’influence, les relations presse… Après le lycée, je voulais vraiment découvrir les différents aspects de la communication, ISCOM m’a donc rapidement séduite avec ses deux premières années du Programme Grande École qui sont basées sur de la communication globale, permettant de découvrir le monde de la communication sous tous ses angles avant d’envisager une spécialisation plus tard dans le cursus. En tant qu’étudiante aujourd’hui, je peux vous dire que cet aspect global et pluridisciplinaire est vraiment intéressant, je touche un peu à tout, de la stratégie à la création, et cela m’aide vraiment dans la construction de mon projet professionnel ! 

2. L’équilibre entre la théorie et la pratique

J’ai toujours été une personne très scolaire, mais je ne voulais pas que mes études ressemblent à mes années lycée avec des cours purement théoriques évalués par des contrôles de connaissances. Une des raisons pour lesquelles je m’épanouis vraiment dans mes études, est bien le fait que la théorie s’allie à la pratique au quotidien ! C’est tellement enrichissant et professionnalisant de pouvoir mettre tous ces cours théoriques en pratique à travers des projets ou cas pratiques fictifs ou réels ; d’autant plus que l’on réalise vraiment à quel point on monte en compétences. ISCOM propose de nombreuses opportunités professionnalisantes, notamment avec les stages annuels dès la première année. Et en plus de rendre les études bien plus plaisantes, ces expériences sont un plus considérable sur le CV !

3. Améliorer l’aisance à l’oral

Pendant toute ma scolarité, j’étais l’élève timide, anxieuse à l’idée de parler en public. J’ai toujours voulu changer ça, alors faire des études de communication était la meilleure des idées. Je sais que certains peuvent penser qu’on ne peut pas être un bon communicant en étant introvertie, mais croyez-moi ce n’est absolument pas un frein ! Maintenant que les oraux font partie de mon quotidien, je suis de plus en plus à l’aise et je n’ai plus de pression lorsque je m’exprime devant un public, mais cela ne veut pas dire que ma personnalité a changé pour autant ! J’ai toujours mon côté introverti, et je tenais à en parler car en communication, tous les profils tout comme toutes les personnalités méritent leur place !

4. L’ouverture à l’international

J’ai toujours rêvé de faire des études qui me permettent de voyager. ISCOM nous offre la possibilité de faire un ERASMUS de 6 mois dans une université étrangère partenaire, ou alors de faire un stage à l’étranger (ou même plusieurs) dans le pays de notre choix. Pour ma part, j’envisagerai de faire un stage à l’étranger lors de ma troisième année d’études, je ne sais pas encore où ni dans quel type de structure, mais j’aimerais beaucoup découvrir la communication dans un pays très différent de la France !

5. Des débouchés pour tous les goûts

Nombreux sont ceux qui pensent que les études de communication ne mènent qu’à des postes tels que Community Manager ou Chargée de Communication. Il existe en réalité des centaines de métiers différents dans différentes branches, comme attaché(é) de presse, UX Designer, Chef de Projet Évènementiel… Mais la communication est un monde qui évolue vite, et la majorité des métiers de 2030 n’existent même pas encore. C’est d’ailleurs pour cela qu’à ISCOM les programmes évoluent selon les tendances, ce qui conduit chaque année à des projets différents voire des matières différentes. Personnellement, je fais partie de ceux qui ne savent pas encore quel poste ils souhaitent exercer plus tard, et ça me rassure de savoir que j’aurai du choix à la fin de formation, d’autant plus que mon futur métier n’existe peut-être pas encore !

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